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Oct 26, 2023

« Un ingrédient du Coca light est une cause possible de cancer »

Découverte dramatique : un édulcorant artificiel largement utilisé, présent dans des produits tels que les sodas light Coca-Cola et certaines boissons Snapple, devrait être classé comme cancérigène potentiel, une cause de cancer.

Découverte dramatique : un édulcorant artificiel largement utilisé, présent dans des produits tels que les sodas light Coca-Cola et certaines boissons Snapple, devrait être classé comme cancérigène potentiel, cause de cancer chez l'homme, par une importante organisation mondiale de santé. Histoire complète

Découverte dramatique : un édulcorant artificiel largement utilisé, présent dans des produits tels que les sodas light Coca-Cola et certaines boissons Snapple, devrait être classé comme cancérigène potentiel, cause de cancer chez l'homme, par une importante organisation mondiale de santé. Histoire complète

Par l’équipe COLlive

Un édulcorant artificiel largement utilisé, présent dans divers produits, notamment les sodas light, le chewing-gum et certaines boissons, devrait recevoir le mois prochain une classification potentiellement cancérigène de la part d'une importante organisation mondiale de santé.

Parmi les produits dans lesquels l'aspartame est utilisé : les sodas light Coca-Cola, le chewing-gum Mars' Extra et certaines boissons Snapple, selon l'agence de presse Reuters.

Deux sources proches du dossier révèlent que le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), la division de recherche sur le cancer de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), classera l'aspartame comme « potentiellement cancérigène pour l'homme » dans sa prochaine annonce en juillet.

Cette décision, basée sur une évaluation complète des preuves disponibles, ne tiendra pas compte des niveaux de consommation sûrs pour les individus.

Des conseils distincts sur la sécurité d'ingestion sont fournis par le comité d'experts de l'OMS sur les additifs alimentaires, connu sous le nom de JECFA (Comité mixte d'experts de l'OMS et de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture sur les additifs alimentaires), ainsi que par les évaluations des organismes de réglementation nationaux.

Bien que l'objectif du CIRC soit de déterminer les dangers potentiels, des classifications similaires antérieures établies par l'organisation ont suscité des inquiétudes chez les consommateurs, des poursuites judiciaires et ont incité les fabricants à reformuler leurs produits ou à adopter des alternatives. Les critiques affirment que les évaluations du CIRC peuvent laisser perplexes le grand public.

Parallèlement à l'évaluation du CIRC, le JECFA mène également cette année une étude sur l'utilisation de l'aspartame. Leur réunion a débuté fin juin et leurs conclusions seront annoncées le même jour que la décision du CIRC, soit le 14 juillet.

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